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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAprès plusieurs années de collecte séparée en porte à porte des biodéchets, deux syndicats mixtes de Gironde sont arrivés au même constat : cette solution n’est pas optimale. L’un et l’autre se tournent aujourd’hui vers l’apport volontaire. Un cheminement riche d’enseignements pour tous les syndicats de traitement des déchets à moins d’un an de l’obligation de tri à la source des biodéchets.
Le compte à rebours est enclenché pour les collectivités en charge de la gestion des déchets. À partir du 1er janvier 2024, elles devront proposer à tous leurs habitants une solution de tri à la source des biodéchets. Dans l’éventail des solutions, la collecte séparée des biodéchets était encore peu répandue en 2019. Selon l’Ademe, seules 157 collectivités avaient alors mis en place un tel service, ou étaient en train de le faire. Ce qui concernait 6% des foyers français.
Pionnier dans ce domaine, le Syndicat mixte intercommunal de collecte et de valorisation des déchets du Libournais Haute Gironde (Smicval), lui, s’y est mis dès 2002. « Nous avons considéré que la collecte à domicile des biodéchets était la collecte prioritaire », résume Nicolas Senechau, le directeur général des services. Dans ce territoire situé au Nord-Est[…]
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