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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDepuis le 3 avril, une proposition de loi du groupe Renaissance de l’Assemblée nationale est examinée à la commission des affaires sociales. Face aux défis que représente le vieillissement de la population, cette « petite » loi de 14 articles ne semble pas être en mesure de faire le poids. Conscient de la contre-publicité que ce texte représente sur une question aussi sensible que le « bien vieillir », le ministre Jean-Christophe Combe a répliqué en dévoilant les contours de son futur « grand » plan, inspiré lui des recommandations du Conseil national de la Refondation.
La proposition de loi « portant mesures pour bâtir la société du bien vieillir en France » qui a démarré son cheminement parlementaire ce lundi 3 avril à la commission des affaires sociales est un texte assez concis de 14 articles. Avec trois thèmes clés abordés : le pilotage de la politique du vieillissement, la question de la maltraitance et celle de l’hébergement, notamment à domicile.
Si une bonne partie des articles sont des articles « facilitateurs » visant à améliorer le quotidien des acteurs du grand âge, comme l’ouverture des données détenues par les mairies (âge, domicile des personnes âgées) aux services sociaux en vue de mener des actions de prévention[…]
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