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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéFace à la prolifération des « dark stores », ou magasins fantômes, dans les grandes villes, Bruno Le Maire fait un premier pas (timide) vers les élus locaux. Le ministère de l’Economie a annoncé le 12 juillet être en train de clarifier le droit existant, afin d’aider les collectivités – qui disposent déjà de quelques marges de manœuvres – à réguler l’implantation de ces activités. Pas question pour autant de se prononcer sur la nature du « quick commerce », ni les éventuels bienfaits ou externalités négatives de la digitalisation de l’économie, comme l’espérait France Urbaine... Quand des élus songent à interdire cette nouvelle forme de commerces, le gouvernement s’échine, lui, à identifier des pistes de compromis.
Bruno Le Maire était invité à arbitrer la guerre larvée que se livre, depuis près de deux ans maintenant, les acteurs du « quick commerce » et les élus des grandes villes et agglomérations. Dans un courrier envoyé le 12 juillet à France Urbaine, en pleine polémique autour des « Uber Files », le ministre de l’Economie et de la Souveraineté industrielle et numérique entrouvre timidement la porte à un possible renforcement des outils de régulation aux mains des collectivités locales. Sans vraiment la refermer au nez des ‘dark[…]
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