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« Aucun promoteur ne ferait un bail rural pour exploiter la toiture d’un immeuble »

Hugo Soutra
« Aucun promoteur ne ferait un bail rural pour exploiter la toiture d’un immeuble »

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© M. Kis

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le Courrier des Maires - édition Abonné

Spécialiste du droit rural, le notaire Xavier Lièvre insiste sur la nécessité d'assouplir ce droit pour faciliter le recours par les promoteurs et les aménageurs aux agriculteurs professionnels. Un moyen, selon cet associé du cabinet 14 Pyramides, de professionnaliser et faire monter en qualité le secteur de l'agriculture urbaine.

Personne, ni les maires de petites villes ni les présidents de métropole, n’a intérêt à ce que l’agriculture urbaine ne se développe au détriment des agriculteurs de métier. Seuls ceux-ci peuvent répondre durablement aux attentes des citoyens. Le notaire Xavier Lièvre veut convaincre les élus d’inviter à la même table aménageurs, start-uppers et agriculteurs pour favoriser le dialogue entre ces différents mondes qui ne se parlent pas. Interview.

L’essor de l’agriculture urbaine, vanté de toute part, ne serait pas si satisfaisant dans sa forme actuelle, d’après vous. D’où vient votre réticence ?

[caption id="attachment_81413" align="alignleft" width="229"] Xavier Lièvre, notaire associé à 14 Pyramides[/caption]

Les politiques, et en particulier les élus urbains, ne cessent de discourir sur les « territoires », mais aucun d’entre eux n’a su intégrer d’agriculteurs expérimentés dans leurs[…]

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