28 février 2010, les lotissements inondés à La faute-sur-Mer
© Flickr-CC-JeanLuc
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Face aux risques naturels plus fréquents et extrêmes du fait du changement climatique, les infrastructures de protection ont leurs limites. L’atténuation des catastrophes trouve ses solutions dans la nature, et la culture du risque des habitants.
Un quart des Français vivent en territoire inondable. Parmi eux, 40 % sont couverts par un programme d’action de prévention des inondations (Papi) ou projet d’endiguement hors Papi (au 1er janvier 2018). La moitié des dépenses concerne des travaux sur digues. « C’est le premier réflexe des élus, car ce sont des travaux visibles par les citoyens. Mais ils transfèrent la rapidité de la crue sur l’aval », souligne Aline Comeau, directrice adjointe de l’Agence de l’eau Adour-Garonne. Toutefois, « ces dernières années, une part croissante des dépenses est consacrée au ralentissement des écoulements et à la mobilisation des fonctionnalités naturelles des milieux humides », selon le rapport de décembre 2018 de l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc). Ces solutions plus « naturelles » sont encouragées et financées par les Agences de l’eau.
Fonds Barnier et subventions des agences de l'eau
Si les inondations font le plus de dégâts, les[…]
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