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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéIntercommunalités de France organisait, en milieu de semaine dernière, une journée de réflexion pour les présidents d’agglomération et de métropoles. L’occasion de revenir sur l’essor du télétravail et d’évaluer l’impact que ce nomadisme professionnel a commencé à avoir de façon plutôt marginale jusqu'à présent sur les villes moyennes et agglomérations… hors Paris ! Mais les élus des métropoles régionales et territoires intermédiaires alentours n'ont pas dit leur dernier mot, et continuent pour beaucoup à croire dur comme fer dans le potentiel que représenterait pour leurs territoires l'arrivée d'une poignée de Parisiens. A condition de parvenir à les ancrer durablement.
Avant la crise sanitaire de 2020 – qui a figé la planète entière durant quelques longues semaines –, la France était loin d’être une nation de télétravailleurs, rappelle Magali Talandier, professeure en urbanisme et aménagement du territoire à l’université Grenoble Alpes. Seuls 8% des actifs avaient en effet accès à ce mode de travail, avec le plus souvent des entreprises rétives à qui il fallait arracher un ou des jours hors les murs. La crise sanitaire a fait évoluer les mentalités par la force des choses.
« Le Covid a permis de faire émerger de nouveaux[…]
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