En mai dernier, l'atelier de l'association Amorce a permis d'analyser les fausses pistes et les bonnes réponses à apporter à l'explosion des factures d'énergie des collectivités.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’heure est au bilan. Après un effort conséquent l’année passée en matière de sobriété, l’évaluation est indispensable. Les collectivités doivent faire le tri dans leurs mesures et en chercher de nouvelles.
On peut apprendre en s’amusant. Aux Assises européennes de la transition énergétique, organisées à Bordeaux du 23 au 25 mai, c’est à une espèce de jeu de rôles que se sont prêtés les participants à un atelier organisé par l’association Amorce. Le but : se mettre à la place d’un responsable financier d’une commune de 2 000 habitants voyant ses contrats énergétiques arriver à échéance et anticipant une explosion soudaine de sa facture.
La situation n’est bien sûr pas sans rappeler celle – bien réelle – vécue par moult collectivités depuis l’automne dernier. Et même si le temps est à l’accalmie, l’hiver prochain ne sera pas de tout repos pour ceux qui ne remettent pas la sobriété sur l’ouvrage. Si les décisions prises dans l’urgence ont eu des résultats qui ont dépassé les attentes, il n’est pas acquis que leurs effets soient les mêmes sans efforts supplémentaires. « Certaines mesures ont braqué pas mal de monde. Ce sera peut-être beaucoup plus difficile l’année prochaine ! », prévient[…]
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