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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDu programme d’aménagement à l’immeuble, du mode de déplacement aux techniques de construction, les projets envisagés sous l’angle de la santé restent rares. Mais la prise de conscience progresse.
En France, le traitement urbanistique de la santé demeure superficiel. « Par petites touches, ici et là, à travers par exemple les écoquartiers », glisse le Suisse Marcos Weil (Urbaplan), l’un des rares urbanistes à participer à des congrès de médecine. « Par un urbanisme favorable à la santé, nous améliorons l’existant mais nous avons quand même cet héritage de 50 ans de planification qui ont séparé l’habitat des activités liées au mode de vie. Et qui, du coup, induisent des mouvements motorisés avec leur lot de pollution, de bruit, d’insécurité etc. »
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L’entrée en matière peut prendre la forme d’un projet d’aménagement comme ce fut le cas à Strasbourg (voir ci-contre). Ou d’un programme de rénovation urbaine, à l’image de celui de Maurepas, quartier prioritaire du nord de Rennes (216 815 hab., Ille-et-Vilaine). « A l’époque, nous étions partis d’une école, sous l’angle de la[…]
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