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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes métropoles et leurs villes-centres concentrent encore l’essentiel des demandeurs d'asile et réfugiés accueillis en France. Leurs maires se démènent pour tenter de répondre à l'urgence humanitaire. Mais, alors que le marché du logement mais aussi de l'emploi s'avère saturé dans nombre de grandes villes au point d'obscurcir les perspectives d'intégration des personnes migrantes, une solidarité métropolitaine commence à se déployer, par endroits, afin de mieux répartir les flux entre communes voisines.
Les métropoles du monde entier se retrouvent en première ligne de la crise migratoire, qu'elles se montrent ouvertes et volontaires ou non. Les élus urbains ne peuvent plus ignorer cet enjeu régalien aux fortes répercussions locales, particulièrement depuis les années 2015-2016, lorsque « cette question de l’accueil s’est imposée partout en Europe », resitue Yves Pascouau, docteur en droit public spécialisé dans les questions migratoires. « Près d’un million de personnes se sont retrouvées sur le Vieux continent. De grandes villes françaises ont été confrontées à des arrivées importantes et n’avaient pas d’autre choix que de répondre à l’urgence humanitaire. »
Une réalité qui s’est traduite, depuis le[…]
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