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Amateurs de « barbaque » ou véganes, la liberté doit primer

Aurélien Hélias
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Anna - 07/12/2018 17h:07

Le problème c'est que si on oublie systématiquement le droit à la liberté AUSSI des animaux, à vivre leur vie, à ne pas souffrir ni être exploités, on avancera jamais. C'est bien beau de prôner la liberté de chacun mais lorsque des choix que l'on considère comme "personnels" font du tord, infligent des souffrances voir tuent d'autres individus sensibles (les animaux donc) le débat est tronqué. Si la liberté doit prévaloir alors nous devons mettre fin à l'exploitation injuste et cruel des animaux, aucun animal ne veut être tué pour des raisons futiles, en 2018 on peut faire autrement.

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Amateurs de « barbaque » ou véganes, la liberté doit primer

Illustration Perle du mois de novembre

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Depuis plusieurs mois, le contexte est tendu. L’opposition est forte entre les adeptes de la viande et les militants antispécistes qui refusent la consommation de produits issus d’animaux ou de leur exploitation. Pour éviter tout débordement, la mairie de Calais avait annulé la tenue d’un festival végane. Mais la justice administrative a jugé que la liberté devait prévaloir.

Est-ce la crainte de combats sanglants ou que les deux parties reviennent de l’événement avec davantage de bleus que d’envie de débattre qui a poussé la maire de Calais à annuler la tenue d’un festival végane sur sa commune ? Probablement, à en croire le communiqué explicatif diffusé par Natacha Bouchart le 25 août pour justifier son changement de pied : « Cette décision est consécutive à des informations annonçant une série d’opérations visant à semer le trouble et à perturber l’ordre public, en marge de l’organisation de ce festival. […] Afin de garantir la sécurité publique et de ne pas exposer les visiteurs, partenaires et organisateurs du salon à un risque de débordement, le choix a été fait d’annuler cet événement », détaillait-elle. Et de jeter en pâture à l’appui de sa démarche plusieurs « articles de presse relatant les[…]

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