Gens du voyage, Roms
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPar nature complexe, la gestion des aires d’accueil peut vite devenir un défi épineux. De plus en plus d’agglomérations la délèguent donc à des prestataires privés. Une solution qui impacte aussi le quotidien des usagers. Décryptage alors que se déroule, du 13 au 14 décembre à Rennes, la 14e Journée nationale de l’accueil et de l’habitat des gens du voyage.
Compétence historique des communes, l’aménagement, l’entretien et la gestion des aires d’accueil a, depuis 2014, été transférée à l’échelon intercommunal, d’abord aux communautés urbaines et des métropoles avec la loi « Maptam », ensuite aux communautés de communes et d’agglomération avec la loi « Notre ». Les communes de plus de 5 000 habitants ont pour obligation d’accueillir sur leur territoire des aires de vie de gens du voyage ou de contribuer au financement d’aires situées sur le territoire d’une commune appartenant au même EPCI.
Au quotidien, il s’agit pour les agents des collectivités de gérer une multitude de tâches. A la gestion locative, c’est-à-dire l’accueil des usagers et la collecte des taxes de séjours, s’ajoutent l’entretien des aires, le suivi social de certaines populations, la gestion d’éventuelles tensions. Des tâches souvent[…]
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