Ruralité, Bourgogne
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes petits agriculteurs pâtissent de l’artificialisation continue des terres agricoles, et de la spéculation (déjà vive) qui en découle. Pour l’heure, communes et intercommunalités peinent à y apporter une réponse.
Les mots changent, le constat reste le même : année après année, les rapports des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Safer) sonnent l’alarme, sans faire sourciller les pouvoirs publics. Leur dernière contribution, remise au printemps dernier, pourrait changer la donne. Les Safer y démontrent que la lutte contre l’artificialisation des terres agricoles ne se résume pas à un simple enjeu de protection des paysages et de la biodiversité, mais aussi de préservation de l'emploi. Ce n’est plus seulement une lubie d’écologistes et de syndiqués de la Confédération paysanne… mais aussi d’économistes !
L’accaparement du foncier agricole encore disponible par des investisseurs étrangers, mais surtout la concentration des exploitations existantes entre les mains de coopératives hors sol et de firmes sociétaires principalement intéressées par l’export, accélérerait la dévitalisation des zones rurales. Ces entreprises embauchent proportionnellement moins d’agriculteurs que les fermes à[…]
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éléonore - 07/02/2020 09h:48
Les SAFER sont des agences immobilières agricoles - la préservation des sols est leur prérogative - ce sont les agriculteurs qui vendent les terres agricoles, pas les élus - donnons un droit de priorité aux villes et EPCI et elles investiront dans l'agriculture
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