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Face à la désertification médicale en milieu rural, bornes, cabines et unités mobiles de téléconsultation se développent, relayées par les collectivités. Mais les élus doivent aussi veiller au respect du cadre réglementaire et avoir conscience des prérequis comme des limites de la télémédecine.
1- Savoir quand recourir à la télémédecine
Selon la Cour des comptes, les téléconsultations remboursées sont passées de 140 000 en 2019 à 18,4 millions en 2020. Et, au total, 5,4 % de l’activité des médecins libéraux a été réalisée « hors consultation physique » sur les 319 millions d’actes facturés, selon « Les Echos ». La téléconsultation intervient uniquement pour des soins non programmés ne nécessitant pas d’examen clinique et dans plusieurs cas de figure pour le patient : médecin traitant non disponible ou absent, résidant dans un désert médical (secteurs ruraux ou quartiers de ville). « La téléconsultation doit être faite par liaison vidéo afin de garantir la qualité des échanges », indique la Cnam, et via un hébergeur de données de santé sécurisé. « Le haut débit suffit, même si c’est mieux avec la fibre », admet-on à Medadom, l’un des prestataires du secteur.
2- Acculturer les élus… et les[…]
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