Labellisée "Entreprise du patrimoine vivant", Guy Degrenne, entreprise viroise à renommée internationale, spécialisée dans les arts de la table, a su résister à la pandémie de Covid-19.
© Jean Claude Moschetti (REA)
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéEpargné par la désindustrialisation, le « village gaulois » de Vire continue de résister à la reconfiguration en cours de l’économie mondiale. Une dynamique singulière par rapport aux bassins d’emplois plus ou moins sinistrés d’autres villes petites et moyennes… Mais pas une exception ! S’ils soulignent l’attractivité du territoire, l’enracinement des industriels locaux ainsi que la forte proportion d’entreprises à gouvernance familiale ou bien encore le travail de facilitation mené par les collectivités locales dans cette épopée industrielle, chercheurs et élus locaux relativisent l’importance de l’« effet local ».
Avec près d’un quart de la population active travaillant dans l’industrie (23%) contre environ un salarié sur dix en France, et un taux de chômage au plus bas – 6,3% sur le bassin d’emploi, contre un peu plus de 8%, en moyenne –, Vire Normandie (16 900 habitants) continue de se distinguer. Encore et toujours. A l’instar d’Ancenis, Figeac, Longwy, Les Herbiers, Issoire ou Vitré, cette ville de la reconstruction perdue dans le bocage normand, à une vingtaine de kilomètres de la première autoroute, a la particularité d'avoir su maintenir un tissu industriel diversifié et dynamique au cours des cinquante dernières années. De Guy[…]
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