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A Saint-Malo, la campagne renforce le consensus sur la régulation d'AirBnB

Hugo Soutra
A Saint-Malo, la campagne renforce le consensus sur la régulation d'AirBnB

Route du Rhum, Saint-Malo, le "village-départ"

© A. Courcoux

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A Saint-Malo, la mobilisation d'habitants excédés par les nuisances liées au développement des locations de courte durée a conduit la plupart des candidats à se positionner sur la régulation d'AirBnB. Loin de se limiter à des récriminations du quotidien, de propreté ou de sécurité, la campagne électorale a été l'occasion d'évoquer des questions nobles : logement, tourisme, perspectives de développement du territoire, etc. Troisième article de notre série de reportages sur ce premier tour des municipales qui, malgré le contexte de crise sanitaire, n’a pas éludé tous les enjeux locaux.

Epidémie de coronavirus oblige, le bruit des roulettes de valises ne résonne plus sur les pavés de Saint-Malo (46 000 habitants). Faut-il s'en plaindre ou s'en réjouir ? Si le tourisme est essentiel à l’économie de l’ancienne cité corsaire, le développement récent et exponentiel des locations de courte durée a destructuré le parc de logements. Au point de devenir un sujet central du récent embryon de campagne municipale.

Véronique Deschamps habitante de l’intra-muros, la cité historique ceinte de remparts, a tiré l’alarme à l’automne 2017 après qu’un logement de sa copropriété soit transformé en location de courte durée. « Cette[…]

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