Le maire de Saint-Dizier, Quentin Brière, en réunion avec sa première adjointe Rachel Blanc, la DGS de la ville et deux cadres de la communauté d'agglomération.
© © Christophe Manquillet
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéSes prédécesseurs cogitent depuis plus d’une décennie sur la meilleure façon de remettre Saint-Dizier sur les rails. Lui doit passer de la théorie aux travaux pratiques... Élu maire à 31 ans, trois ans seulement après son arrivée comme directeur de cabinet, Quentin Brière table sur une alliance avec le privé pour métamorphoser la sous-préfecture de Haute-Marne. Qu'il aime présenter comme un laboratoire du renouveau des villes moyennes. L'ambition est-elle réaliste, ou tient-elle davantage du marketing territorial ? Le Courrier des maires a suivi Quentin Brière une journée, sur place, pour vérifier ce qu’il en était concrètement. Reportage.
Certains auraient déjà baissé les bras face à l’ampleur de la tâche. Mais Quentin Brière n’est pas du genre à s’arrêter aux constats sur la difficile adaptation au réchauffement climatique, aux photographies d’une population politiquement éruptive manifestant sa colère tantôt dans la rue – dernièrement lors de la réforme des retraites – tantôt dans les urnes, encore moins aux prophéties condamnant à mort les villes moyennes. Aménagement urbain, cohésion sociale, mobilités, réindustrialisation, transition écologique… Les chantiers sont encore nombreux, à mi-mandat, pour le jeune[…]
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