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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéBien avant le renouvellement de l’exécutif et du Parlement en 2017, un vent de fraîcheur avait soufflé sur les assemblées départementales dès mars 2015. Mais à mi-mandat, trois ans après le toilettage des élections départementales, les rêves de changement ont été soigneusement rangés au placard...
En mars 2015, l’élection de binômes paritaires dans des cantons élargis a fait changer de visage un certain nombre de conseils départementaux. Puis l’importante abstention aux élections présidentielle et législatives a convaincu certains élus d’opposition d’arrêter de surjouer un clivage caricatural, même si les affrontements étaient déjà rares dans ces institutions réputées hermétiques aux bisbilles politiciennes.
Reste que si un changement est à observer dans les sphères départementales, il semble bien davantage lié à l’entrée en vigueur de la loi « Notre ». La réforme territoriale n’a pas fait que renforcer les intercommunalités, elle a aussi réorienté les conseils départementaux sur l’action sociale. Elle a, de ce fait, réduit d’autant les marges de manœuvre des élus, tous groupes politiques confondus, et affaibli considérablement l’influence des départements. Il leur est de plus en plus difficile de[…]
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