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A Eybens, ces candidats qui voulaient plus fort que tout gagner... mais ne pas siéger à l’interco

Aurélien Hélias
A Eybens, ces candidats qui voulaient plus fort que tout gagner... mais ne pas siéger à l’interco

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Dans la commune d’Eybens (Isère), les candidats des deux listes de gauche revendiquent bec et ongles le non cumul entre un mandat de maire et de conseiller métropolitain à Grenoble Alpes métropole. Une posture peu répandue… sur fond de surenchère politique ? Cinquième épisode de notre série de reportages sur ce premier tour des municipales qui, malgré le contexte de crise sanitaire, n’a pas éludé tous les enjeux locaux.

A Eybens, un peu plus de 10 000 habitants dans l’Isère, deux conseillers municipaux iront siéger à la Métropole de Grenoble à l’issue des élections municipales. Classiquement, c’est le ou la maire tête de liste, et son second ou sa seconde sur la liste qui s’y collent… Fait singulier dans la commune d’Eybens, Nicolas Richard, maire sortant ((Précisons que Nicolas Richard a été promu maire en avril 2019, suite à la démission tactique de Francie Megevand désireuse d’assurer le passage de relais.)) leader de la liste « Eybens demain » (écologiste et divers gauche), ainsi que l’une de ses rivales, Pascale Versaut, conduisant « Vivre Eybens » (union de gauche) ont décidé, l’un comme l’autre, de ne pas siéger à la Métropole, en cas de victoire. « Notre choix est celui d’avoir un maire bien[…]

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