Les priorités vaccinales à l’épreuve des inégalités sociales

En Seine-Saint-Denis ou à Mayotte, la surmortalité a été plus importante l'an dernier, en plein cœur de la crise sanitaire. Comment expliquer alors qu'on vaccine moins dans ces territoires ? De l'effet social au "nomadisme vaccinal", les explications sont variées...

Un « effet social » dans la surmortalité
Comparer les chiffres à l’ensemble de la population est risqué, puisque la structure de la population est différente d’un département à un autre et que le vaccin n’est pour l’instant accessible principalement qu’aux plus de 75 ans. Or, 5% des Séquano-dyonisiens ont plus de 75 ans, contre près de 9% en Gironde. Cependant, malgré cette jeunesse, la surmortalité a tout de même été plus forte en Seine-Saint-Denis lors de la première vague. Cette s ...CONTENU RÉSERVÉComment accéder à ce contenu ?
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