Agriculture : le casse-tête de la régulation locale du foncier

Les petits agriculteurs pâtissent de l’artificialisation continue des terres agricoles, et de la spéculation (déjà vive) qui en découle. Pour l’heure, communes et intercommunalités peinent à y apporter une réponse.
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Agir pour les agriculteurs, de la terre à l'assiette
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Sommaire du dossier
11 articles Lire le 1er article- Article 01 - Cantine, marché drive, ferme bio… la conversion rapide d’un village
- Article 02 - De la terre à l’assiette, des sillons à creuser pour « relocaliser » l’agriculture
- Article 03 - « La surface agricole d’un département disparaît tous les cinq ans ! »
- Article 04 - Les recettes de France Urbaine pour «sanctuariser» les terres agricoles
- Article 05 - Agriculture : le casse-tête de la régulation locale du foncier
- Article 06 - Protection des zones humides : comment bien miser sur le tapis vert
- Article 07 - Bien-manger : Albi doit encore passer du discours aux actes
- Article 08 - Alimentation durable : les maires doivent « accompagner le changement »
- Article 09 - Leviers d’action pour passer sa cantine en bio
- Article 10 - Une agriculture urbaine professionnalisée et pérennisée… en la rendant aux ruraux
- Article 11 - PAC : « Les collectivités devraient bâtir des alternatives profitant aux agriculteurs »
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Les SAFER sont des agences immobilières agricoles – la préservation des sols est leur prérogative – ce sont les agriculteurs qui vendent les terres agricoles, pas les élus – donnons un droit de priorité aux villes et EPCI et elles investiront dans l’agriculture